Les maux des mots

Je vous l’accorde, cette photo est un peu noire. Et pourtant : il y a tant de justesse, tant d’évidence dans ces quelques mots, jetés à la face des quidams indifférents du métro parisien !

J’aime plus que tout cette poésie métropolitaine. Ils sont pour moi synonymes de civilisation un peu désuète, dans un lieu où l’impassibilité, au mieux, règne.

Coincés entre des publicités insipides, j’aime les repérer, les découvrir, les lire, et passer le reste du voyage à les méditer ou à les savourer comme des petites douceurs…

Commentaires

Je ne comprends que trop rarement le sens de ces poèmes du métro (quand il y en a vraiment un) mais j’aime moi aussi les lire, et vaquer tranquillement à mes pensées.

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Je suis comme toi ! Lorsque je l’ai lu, j’ai ce petit sourire au lèvres et je m’édites sur chaque rime, chaque mot… je pensais être la seule à les voir, car bien souvent, je remarque qu’il n’y a que moi qui les lit… je suis hors du temps, un peu sur mon nuage… un petit moment délicieux à moi toute seule !!! ^^

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Moi aussi je les guette et aime bien les lire… Mais j’ai le sentiment qu’il ya en a de moins en moins… 🙁

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Tous les matins il y a celui là dans ma rame :
Il
Caché derrière mille references,
Elle l’a trouvé quand même.

J’ai mis du temps à comprendre mais maintenant je l’aime beaucoup.
J’aime bien ces poèmes imprimés juste à l’intention de ceux qui lèvent la tête pour rêver un peu.

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J’aime aussi beaucoup l’association avec l’illustration.
tout est très juste.

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J’adore les lire ces petits poèmes qui apportent fantaisie, réflexion, humanité à ce métro plein d’indifférence.

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En parlant de « quidams indifférents du métro parisien », connais-tu ce blog :
http://linconnudumetro.wordpress.com/
?
Une personne interroge chaque jour un(e) inconnu(e) dans le métro parisien et à chaque interview, il en ressort que les gens pensent des autres emprunteurs du métro qu’ils sont froids, fermés à toute conversation… et donc comme tu le dis si bien INDIFFERENTS.

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Oh j’allais parler aussi de l’inconnu du métro, une petite merveille ce blog.
ces petits poèmes, rien de tel, lorsqu’on est dans un bain de foule à l’heure de pointe :p

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JUIN 2010
Je m’en reviens du métro parisien et dans le train qui me ramène dans mon Aube natal je cherche à retrouver ses mots qui se lisent dans les rames à l’envolé du métro,mais pas trop….mais trop pas je m’en souviens…bon sang !
Je sais qu’il s’agit de lui-il- et de-elle-qui Le trouve…et que ses mots m’ont frappé tel une évidence que j’ai pas noté….oui mais maintenant j’en ai besoin comme l’ivresse d’un éveil en sus…zut je l’ai sur le bout de la langue…vite ‘y m’faut ma connexion!
« Oooo Oracle du net!…miroir mon beau miroir dit m’en un peu plus de ses linges de poésies dont on lange les rames du métro parisien…. »
un site deux site trois site bingo’!Merci Deedee

Il-cachée derrière mille références
Elle l’a trouvé quand même !

WWWWaaaahhh!Bon sang c’est un double voir triple effet cette histoire effervescente de mots d’ivresses qu’on retrouve…magique!

Merci Merci Deedee

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Elle
Cachée derrière mille références
Il l’a trouvé quand même !

Oui çà marche dans ce sens là aussi…

Merci Caro d’avoir re-dis ce brin de poésie ici,grâce à çà l’ivresse de ses mots là a de nouveau fait battre mon cœur sur un rythme nouveau libéré une mélodie neuve de mots brillant comme un sous neuf.

Deedee,j’ai au cœur de la nuit un peu fait le tour de ton blog,c’est super chouette ! Bravo et merci d’être là.
Salut les filles!

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