#Differencemaker : et si un tout petit changement pouvait faire la différence ?

campagne difference maker

En © de cette photo, je trouve тамблер минимализм (Help !)

Réaliser son rêve, être mieux dans ses baskets, améliorer son quotidien… Est-ce qu’un petit changement peut faire la différence ? C’est en tout cas le postulat de cette campagne de Clinique que j’ai beaucoup, beaucoup aimée et que j’ai eu envie de partager avec vous. Un peu de positive attitude ne nous fera pas de mal en ce moment !   

Alors voilà. La marque lance donc The Clinique Difference Initiative, une initiative à l’échelle mondiale qui a pour objectif d’aider à renforcer la confiance et le courage des femmes à travers le monde.

Pour ce faire, Clinique a donné la parole à quatre femmes incroyables venant des quatre coins du monde. Le récit de Victoria Pendleton est celui qui m’a le plus interpellée : ancienne coureuse cycliste britannique spécialiste de la vitesse individuelle et par équipe sur piste, respectivement sextuple et double championne du monde de ces disciplines, Victoria serait passé à côté de sa vie si elle n’avait pas cru en elle un minimum. Trop petite, pas assez résistante, les arguments qu’on lui opposait pour l’empêcher de réaliser son rêve étaient légion. Et violents.

Dans la vidéo, elle explique qu’elle a pris son courage à deux mains et qu’elle a laissé son intuition et son travail la guider, parce qu’elle ne voulait pas renoncer à son rêve. Oh bien sûr, ça n’a pas du être aussi simple que le fait de l’écrire… Mais Victoria incarne pour moi la ténacité et l’audace… Parce qu’il est finalement bien plus facile de baisser les bras que de prendre son rêve à bras le corps !

Regardez, c’est inspirant :

Le but de Victoria et au-delà, de cette campagne de Clinique est d’encourager les femmes à réaliser leurs rêves et de répandre le message que si nous croyons en nous, rien n’est impossible. Clinique veut montrer aux femmes qu’elles aussi peuvent faire la différence, même lorsqu’elles ont le sentiment d’être impuissantes à avoir un impact positif sur le monde qui les entoure. Accessoirement, chacune des quatre femmes présentes dans la campagne Difference Maker supporte des associations faisant partie de la Clinique Difference Initiative, une plateforme philanthropique qui supporte l’éducation et la santé des femmes. L’association centrale soutenue par Clinique est Room to Read qui soutient l’éducation dans le monde à travers des aides matérielles comme des fournitures pour des écoles.

Voilà le message positif que j’avais envie de relayer. Parce qu’on oublie trop souvent que comme pour l’environnement, chaque changement, aussi petit soit-il, peut avoir un impact sur le monde qui nous entoure.

En quoi sommes-nous nous-mêmes des Différence Makers ?

VP_H8A6156

Ah oui, c’est bien beau de théoriser, mais on passe à la pratique maintenant ! C’est tout le but de cette campagne : essayer de voir en quoi ces petites choses qu’on essaye de faire, chacune, peut avoir un impact positif. Pas besoin d’être mère Theresa, ni une business woman redoutable…

Pour ma part, je vous en ai déjà parlé quelques fois, j’aime que ma consommation fasse sens, au moins un peu. D’une manière générale et que ce soit sur mon dos ou dans mon assiette, j’essaye de consommer moins, mais mieux. Et de recycler : je n’aime pas cette idée de jeter un objet ou un vêtement au simple motif qu’il n’est plus à mon goût.

Je n’ai pas encore lu le livre de Marie Kondo (je l’ai commencé 25 fois et je l’ai reposé 25 fois, mais je sais qu’un jour, j’y arriverai ! N’est-ce pas Lili et Fanny^^). Mais de plus en plus, cette consommation effrénée m’écoeure. Alors j’essaye de donner, régulièrement, pour me sentir un peu moins inutile. Je vous avais parlé de plusieurs solutions, ma préférée reste Jacqueline : Jacqueline n’a pas de travail. Et parce qu’elle n’a aucun revenu, elle récupère les vêtements qu’elle peut. Une partie est revendue et lui permet de subvenir à ses besoin, elle se charge de donner le reste à la Croix Rouge.

Ça n’est vraiment rien du tout (et que les choses soient claires, je n’attends pas d’être glorifiée sur trois générations). Mais depuis que j’en avais parlé ici, vous êtes nombreuses à me demander ses coordonnées. Et ça me met en joie à chaque fois que je reçois un de vos mails 🙂

J’aurais pu vous parler aussi du courage qu’il me faut pour mener ma petite entreprise, des défis sans cesse plus grands à relever, de la peur de l’échec, des belles personnes que je rencontre… Mais ce sera pour une prochaine fois !

Et vous, en quoi êtes vous des Différence Makers ?  Dites-le ici, ou sur vos réseaux sociaux avec le #differencemaker ! 

En partenariat avec Clinique

Commentaires

Très inspirant ce post 🙂
J’ai été élevée avec le principe d’éviter de jeter, et si possible de donner (j’ai presque jamais revendu qqch sur un quelconque site).
J’ai récemment bossé dans une épicerie solidaire, et tu découvres que, grâce eux, presque rien de se perd dans l’alimentaire : les supermarchés partenaires donnent (déduction fiscale), l’épicerie revend le « non périmé selon l’étiquette » à bas prix à des bénéficiaires sociaux. et, ensuite le trop plein de stock ou le « périmé sur l’étiquette » (encore consommable sans danger) est redonné par l’épicerie solidaire à une assoc qui nourrit gratuitement les SDF et les gens dans le besoin.
Grâce à ça, on limite le gâchis alimentaire des supermarchés, et y a toute une chaîne d’entraide parce que moi jeter de la nourriture ça me fait un pincement au coeur. qd je vois certaines poubelles de supermarchés pleines de nourritures emballées encore consommables…

Voilà ma petite différence, sans être parfaite (aucune leçon à donner), j’essaie de limiter mon gâchis alimentaire et d’ajuster mes courses!
Bonne journée

Répondre

Alors j’avoue, moi c’est un peu différent : beaucoup de marques payent en nature. Ce qui est cool, dans l’absolu, sauf que… je ne paye pas l’URSSAF, mon loyer and co en nature ! Du coup, je revends quand même pas mal, histoire de m’y retrouver à peu près.
Je ne connaissais que mal le circuit des épiceries solidaires, hyper intéressant ! Et oui, je suis d’accord avec toi : l’idée n’est pas de donner des leçons, loin s’en faut ! Mais de mettre des petites actions, à la hauteur de ce qu’on peut faire, bout à bout. Pour faire mieux, différent, pour gagner un peu plus de confiance en soi…
Bonne journée à toi et merci pour ta contribution !

oui, forcément pour toi l’utilisation du vide dressing c’est tout légitime. (par contre je pensais que les bloggeuses payaient leur loyer en chaussures, un mythe s’effondre )

😉

SUper cette campagne Clinique, j’adhere completement! 🙂

Répondre

Je le dis souvent, mon plus gros frein… C’est moi… !

Merci pour ce post! Impliquée dans une association qui aide les femmes à retrouver un emploi, je ne peux qu’adhérer à ce message. Les femmes sont généralement leur meilleur ennemi, alors qu’elles peuvent tout réussir.

Répondre

Oui exactement !

Cette campagne (et ce merveilleux article) ont le méritent de me faire réfléchir… Avoir plus confiance grâce à des petits gestes positifs, le concept fait rêver! Reste à trouver quoi?? C’est une belle initiative de la part de Clinique en tout cas.

Répondre

Pour le copyright, il est écrit Tambler Minimalist, donc j’imagine Tumblr Minimalist. Je ne sais pas si ça peut t’aider ! (et si c’était bien ça le Help).

Ici j’essaie de faire la différence en consommant (un peu) mieux, par mon activité principale (produire de meilleurs logements sociaux) et par mon activité secondaire (accompagner des petits couples pour qu’ils aient la cérémonie de mariage qui leur corresponde, forte et joyeuse). Ah, et élever un enfant aimant, ouvert, qui soit un plus pour le monde. Souvent je me dis que c’est bien insuffisant. Et puis une fois de temps en temps je me dis que c’est déjà pas si mal.

Répondre

Disons que ça ne nous donne pas le nom de l’auteur, mais on progresse ^^

Répondre à Urielle Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *