Un week-end au Festival de Cinéma Européen des Arcs avec Sisley

Si vous me suivez sur Instagram, vous avez pu voir que je suis partie en décembre au Festival de Cinéma Européen des Arcs, invitée par Sisley. La marque est partenaire et invite chaque année quelques blogueurs et journalistes à suivre l’actualité du Festival. J’ai eu la chance de faire partie de la super team du cru 2018 ! Je vous raconte, parce que je pense que ce Festival, les films que j’ai pu voir (un en particulier) et le domaine skiable où nous étions valent vraiment plus que quelques stories…!

Le Festival de Cinéma Européen des Arcs, c’est une semaine dédiée à la promotion de la diversité du cinéma européen et à la découverte des nombreux talents que compte notre continent. Installé au cœur des Alpes dans l’un des plus beaux domaines skiables au monde, le festival est l’occasion de profiter des premières neiges et de séances de cinéma en présence des réalisateurs et comédiens : les Arcs reste une petite station, l’ambiance y est bon enfant et on croise tout ce petit monde en toute détente aux projections ou en soirées, notamment.
Concrètement, le festival propose une programmation inédite en France composée de plus de 120 films venus de tous les pays d’Europe. Dans ce cadre, Sisley remet un prix spécifique, et non des moindres : le prix « Femme de cinéma Sisley/Les Arcs ». C’est un prix engagé destiné à promouvoir les femmes qui imaginent et font le cinéma d’aujourd’hui. 1 femme sur 5 seulement est réalisatrice à l’heure actuelle en Europe, pour ne citer que cet exemple !

Cette année, c’est Iram Haq qui a reçu ce prix. Son film, La Mauvaise Réputation, m’a bouleversée…

C’est l’histoire de Nisha, une jeune fille de seize ans qui mène une double vie. Avec sa famille, elle est la parfaite petite fille pakistanaise, fidèle aux valeurs et traditions de la famille. Dehors, avec ses amis, c’est une adolescente norvégienne ordinaire. Son père la surprend un jour dans sa chambre avec son copain… Et c’est le drame : il la séquestre et la « déporte » littéralement au Pakistan, où il compte sur la rigueur du cadre familial pour la remettre dans le droit chemin. Le film est d’une justesse étourdissante, d’une dureté hallucinante et pose les questions justes, sans laisser à quiconque qu’au spectateur de juger de la situation. Je vous jure, j’en suis encore estomaquée ! Allez le voir, il sort le 13 juin en France et il vaut VRAIMENT le coup.

J’en profite pour saluer le travail extraordinaire mené par l’équipe du Festival, en particulier Fabienne Silvestre -Bertoncini, déléguée aux Relations Publiques et Institutionnelles et qui, si j’ai bien tout compris, pilote le prix « Femme de cinéma Sisley/Les Arcs ».

Le deuxième film que nous avons vu,  La mort de Staline, est un peu plus… fantasque, dirons-nous, et fatalement moins fort : il s’agit d’une satire des jours qui suivent la mort de Staline et la manière dont ses fidèles cherchent à s’emparer du pouvoir. Grotesque, bien joué, drôle à tendance abscon. A voir aussi (il sort le 21 mars prochain).

Et le reste ?

Nous avons skié deux fois, pendant 1 ou 2 heures. Je me découvre pour la première fois de ma vie un vrai plaisir à dévaler les pistes, moi qui ai commencé à 15 ans et qui flippe dès que je mets un orteil sur un ski. On nous avait prêté pour l’occasion des pantalons and co Fusalp… ça doit être pour ça, non ? Je veux dire, on skie forcément mieux avec ces petites pépites sur le dos qu’avec l’équipement Go Sport ou Décathlon dans lequel j’ai investi il y a 15 ans !

Nous avons pu aussi découvrir le très joli spa qui jouxtait notre logement, partager raclette, tartiflette et autres mets légers, digérer gentiment le tout grâce au Génépi, what else, danser jusqu’au bout de la nuit, pouffer comme des ados, nous faire maquiller par le make up artist Sisley, le très talentueux Angloma. J’utilisais déjà quelques produits de la marque, j’en ai découvert d’autres, je vous ferais un petit récap à l’occas sur le sujet si vous voulez !

Pour finir, nous avons passée deux soirées de concerts de FOLIE, la première avec Martin Gamet, alias Gribz (il a notamment travaillé pour -M-, Renan Luce, Camille…), rejoint à la fin de son concert par M- himself !, Corinne fille de ta région que j’aime tant et que j’ai osé approcher grâce à Virginie pour lui dire, comme une ado boutonneuse que j’étais vraiment très fan de ce qu’elle faisait (je n’ai jamais aimé aborder les gens connus, je ne sais jamais quoi leur dire et j’ai toujours l’impression que ça va les saouler !) (#confessionintime). Le lendemain, c’était l’Impératrice que j’aime plus que tout suivie des Naïve New Beaters que j’ai un peu connus dans une autre vie. Bref, comme disait Pépin, tout cela a tenu dans un peu plus de 48h, je vous laisse deviner l’état dans lequel je suis revenue : heureuse, oui !

A bientôt pour de nouvelles aventures et vraiment, allez voir le film d’Iram Haq… Vous me direz ce que vous en aurez pensé !

Sur les photos, on aperçoit les trombines de la team Sisley, mais aussi de mes collègues de bloguerie : Virginie, Anne-Laure, Pauline, Maëlis , Kristi et Ursula.

La plupart des photos de cet article sont signées Sebastian Erras.

Special thanks à toute la team Sisley et à celle du Festival Festival de Cinéma Européen des Arcs !

Commentaires

je suis d’accord avec toi au sujet de l’équipement, ça joue énormément dans la performance ! moi j’ai une marque chouchou pour le tennis.

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Wow ça donne trop envie…la chance :)! Tu étais logée ou aux Arcs ? Ça me dit bien le chalet avec spa… Bonne soirée !

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