10 livres à glisser dans votre été

Je sais… avant, je vous parlais souvent de ces lectures que j’aime bien. Et puis, je lis moins, faute de temps. Et aussi, je vous le confesse, je me demande souvent comment parler livres, sachant que ces chroniques là pâtissaient d’un manque d’intérêt de la plupart d’entre vous. Alors oui, j’aime écrire, mais si c’est pour ne pas être lue, autant repasser au bon vieux carnet de notes !

Or donc, je me suis dit qu’une compile de 10 très bons livres que j’ai lu cette année ou un peu plus loin pourrait vous intéresser, à l’approche des vacances. Dont acte !

Voici 10 bons livres sur lesquels vous pouvez miser les yeux fermés :

Elle voulait juste marcher tout droit, de Sarah Barukh

Un très beau premier livre, qui raconte l’histoire d’une petite fille juive cachée à la campagne pendant la seconde guerre mondiale. Un jour, alors que la guerre est finie, sa maman vient la reprendre. Et là, c’est le drame ! Le sujet est dur mais le ton est juste, parfois même drôle. On vit cette histoire à travers les yeux d’Alice, la fillette, et on comprend tout le désarroi et l’injustice de la guerre face à l’enfance sans jamais pour autant verser dans la facilité. A lire, encore plus parce que son auteure est adorable 🙂

Ce que dit la 4ème de couv :

1946. La guerre est finie depuis quelques mois lorsqu’Alice, huit ans, rencontre pour la première fois sa mère. Après des années à vivre cachée dans une ferme auprès de sa nourrice, la petite fille doit tout quitter pour suivre cette femme dont elle ne sait rien et qui lui fait peur, avec son drôle de tatouage sur le bras. C’est le début d’un long voyage : de Paris à New York, Alice va découvrir le secret de son passé, et quitter à jamais l’enfance. Comment trouver son chemin dans un monde dévasté par la guerre ? Avec une sensibilité infinie, Sarah Barukh exprime les sentiments et les émotions d’une enfant prise dans la tourmente de l’Histoire. Un premier roman magistral. Sarah Barukh a 35 ans et travaille dans la communication. Elle a créé sa propre entreprise. Elle voulait juste marcher tout droit est son premier roman. 

Le livre du rire et de l’oubli, de Milan Kundera

Parce qu’un petit Kundera, ça fait toujours du bien. Celui-ci ne déroge pas à la règle : il faut pénétrer l’univers de Kundera, parfois un peu … hostile, mais une fois que vous y serez, ce sera bien, vous verrez !

Ce que dit la 4ème de couv :

Tout ce livre est un roman en forme de variations. Les différentes parties se suivent comme les différentes étapes d’un voyage qui conduit à l’intérieur d’un thème, à l’intérieur d’une pensée, à l’intérieur d’une seule et unique situation dont la compréhension se perd pour moi dans l’immensité. C’est un roman sur Tamina et, à l’instant où Tamina sort de la scène, c’est un roman pour Tamina. Elle est le principal personnage et le principal auditeur et toutes les autres histoires sont une variation sur sa propre histoire et se rejoignent dans sa vie comme dans un miroir. C’est un roman sur le rire et sur l’oubli, sur l’oubli et sur Prague, sur Prague et sur les anges. 

Dans les forêts de Sibérie de Sylvain Tesson

De l’évasion, en veux-tu, en voilà ! J’avais beaucoup aimé ce livre qui m’a emmenée vers des contrées totalement inconnues, parfaitement séduisantes et dépaysantes. Sylvain Tesson est un véritable conteur !

Ce que dit la 4ème de couv :

Assez tôt, j’ai compris que je n’allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m’installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forêts de Sibérie. J’ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baïkal. Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j’ai tâché de vivre dans la lenteur et la simplicité.Je crois y être parvenu. Deux chiens, un poêle à bois, une fenêtre ouverte sur un lac suffisent à l’existence. Et si la liberté consistait à posséder le temps ? Et si la richesse revenait à disposer de solitude, d’espace et de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ? Tant qu’il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu.Sylvain Tesson est né en 1972. Aventurier et écrivain, membre de la Société des explorateurs français, il s’est fait connaître avec un remarquable récit de voyage, L’axe du loup : De la Sibérie à l’Inde sur les pas des évadés du Goulag. Son premier recueil de nouvelles, Une vie à coucher dehors, s’inspirant de ses nombreux voyages, reportages et documentaires, a reçu le Goncourt de la nouvelle 2009.

Réparer les vivants de Maylis de Kerangal

La claque. C’est ce que j’ai ressenti à la lecture de ce livre. Bouleversant, phénoménal, il m’a secouée et trouve encore aujourd’hui, plusieurs mois après l’avoir refermé, un écho en moi. Si vous ne deviez lire qu’un seul livre de cette sélection, ce serait celui-là. Et non, je n’irai pas voir le film : il fait partir de ces livres que j’ai trop aimé pour aller voir ce qu’ils donnent à l’écran : j’ai construit un imaginaire trop important autour des personnages pour interpréter différemment les choses. N’insistez pas !

Ce que dit la 4ème de couv :

Sur un sujet aussi sensible que la transplantation d’organes, Maylis De Kerangal réussit un petit miracle romanesque. Réparer les vivants est un de ces romans en suspension, touché par une grâce que seul un amour sincère pour la vie permet d’atteindre. Sans jamais sombrer dans le pathos et céder au prêt à pleurer, l’auteur nous fait prendre conscience à quel point le don d’organes est avant tout un don de soi. C’est à la mort que l’on doit la vie. La réflexion certes vertigineuse devient extrêmement réconfortante après avoir lu ce roman bouleversant.

Danser au bord de l’abîme de Grégoire Delcourt

Acheté un peu par hasard avant un énième déplacement cette année, je ne l’ai pas regretté une seconde. C’est l’histoire d’une femme mariée, trois enfants, apparemment heureuse dans son couple. Et puis un jour, elle le voit. Et elle plaque tout. Sans certitude, sans rien qu’une étincelle, un regard. Inconscient ? Peut-être. Ce livre a fait écho pour moi à la difficulté d’être un couple face aux autres, à ces autres qui peuvent tout faire basculer si vite, au courage qu’il faut paradoxalement parfois pour partir, à la difficulté d’assumer ses choix. Evidemment, la plume très juste de Grégoire Delacourt aide à apprécier l’ensemble encore mieux !

Ce que dit la 4ème de couv :

Emma, quarante ans, mariée, trois enfants, heureuse, croise le regard d’un homme dans une brasserie. Aussitôt, elle sait. Après On ne voyait que le bonheur, Grégoire Delacourt explore dans ce roman virtuose la puissance du désir et la fragilité de nos existences.

Changez d’alimentation du professeur Henri Joyeux

Seule exception à cette liste, un livre que je n’ai pas lu, mais presque : je suis en train. Ça compte du coup non ?! Or donc, je ne suis pas encore totalement convaincue par cette lecture, mais je m’y accroche, principalement parce que je suis comme vous le savez partisane du moins mais mieux et ce, dans tous les domaines. Y compris la nourriture. Et qu’en la matière, on a encore un sacré bout de chemin à faire pour renouer avec le sens de nos assiettes !

CE QUE DIT LA 4ÈME DE COUV :

Plutôt qu’une énième méthode révolutionnaire pour garder la ligne et la forme, Changez d’alimentation est un guide indispensable et passionnant pour nous apprendre à mieux choisir nos aliments. Personnage médiatique parfois controversé, le professeur Joyeux n’hésite pas à prendre des positions qui dérangent pour livrer ses précieux conseils. Arguments scientifiques à l’appui, il s’attaque à nos idées reçues sur l’alimentation (sur le lait de vache, par exemple). Avec lui, on apprend à bien manger pour vivre mieux !

Les encombrants de Marie-Sabine Roger

Autre livre, autre thème qui m’est cher : celui de la vieillesse et des personnes âgées, la place que nous leur réservons, celle qui, peut-être, nous attend. C’est attachant, comme livre. Attachant et poignant. Et parfois drôle, aussi.

CE QUE DIT LA 4ÈME DE COUV :

Le mois dernier, on a fêté les cent ans de Mme Vivieux.C’est bien d’avoir un centenaire, pour une maison de retraite.Le centenaire, ça donne toujours un petit coup de pouce à la liste d’attente.À peine on a fini de souffler les bougies, hop, trois ou quatre nouveaux inscrits.On a droit aux articles dans les journaux locaux, La Petite Gazette, et L’Écho du pays.Dans le quotidien régional, aussi.Comme dit Mme Prunier, de l’accueil : le centenaire, c’est vendeur. Marie-Sabine Roger est née en 1957. Elle vit près de Nîmes. Après avoir été enseignante en maternelle pendant plusieurs années, elle se consacre aujourd’hui à l’écriture. Elle est l’auteur de presque quatre-vingt-dix livres pour enfants, adolescents et adultes.

Aimez-vous Brahms de Françoise Sagan

Impossible de vous recommander une liste de livres sans y inclure un livre de Sagan (notez que j’ai lutté pour ne pas vous mettre aussi un livre de Vian !). Je n’ai pas lu toute son oeuvre, loin s’en faut : je me réserve des surprises, je les achète et découvre au compte goutte, je les fais attendre, là, dans l’étagère, et quand je n’y tiens plus, je les dévore.

Dans Aimez-vous Brahms, François Sagan traite du thème du couple, de la différence d’âge, de l’amour. Lisez-le, vous ne serez jamais déçu avec un livre de cette auteure !

CE QUE DIT LA 4ÈME DE COUV :

Aimez-vous Brahms… est le roman d’un dernier amour. Paule a trente-neuf ans ; elle est décoratrice et divorcée. Son amant, Roger, tout à ses affaires et à ses caprices, lui rend de distraites visites qu’elle attend, fidèle et dolente. Sa vie s’écoule ainsi sur fond de bonheur triste. C’est à ce moment-là, « au moment où elle perdait sa propre trace », qu’elle rencontre le fils d’une riche cliente, Simon van den Besh, de quinze ans son cadet. Il est beau, nonchalant et enfantin ; il s’éprend d’elle, la courtise ; elle regarde de loin avec attendrissement ses efforts, jusqu’au jour où il la conquiert, en l’invitant à un concert salle Pleyel. S’ensuivront plusieurs semaines où elle se laisse aller à la passion qu’elle inspire au jeune homme, et à laquelle elle ne répond pas sans réticence ; jusqu’au jour où elle comprend que sa liaison avec Roger est plus forte que tous les élans de jeunesse que Simon a voulu lui rendre : « Elle ignorait pourquoi. Peut-être parce que les efforts qu’elle avait faits pour leur amour depuis six ans, ces incessants, ces douloureux efforts lui étaient enfin devenus plus précieux que le bonheur. » Elle renverra donc Simon, qu’elle ne peut s’empêcher d’envier pour ce « chagrin si violent, un beau chagrin, une belle douleur comme elle n’en aurait jamais plus », et retrouve Roger, ce « quelque chose d’inéluctable » dans sa vie, où il ne sera désormais question que de garder, plus de prendre : « Simon, Simon, et elle ajouta sans savoir pourquoi : Simon, maintenant je suis vieille, vieille… »

La vie aux aguets de William Boyd

La bonne lecture de vacances par définition, prenante juste ce qu’il faut pour accrocher entre les cigales, les plongeons pour se rafraîchir et le clocher qui sonne l’heure de l’apéro.

CE QUE DIT LA 4ÈME DE COUV :

À 28 ans, Ruth Gilmartin découvre que sa mère ne se prénomme pas Sally, mais Eva Delectorskaya. Née en Russie, cette espionne au service de sa Très Gracieuse Majesté, fait l’aveu à sa fille de sa double vie car elle a besoin de sa complicité. Dans ce roman insolite, Boyd se joue des codes du genre et préfère miser sur les rapports filiaux avec une acuité parfaite. Espiègle, savamment retors, fin psychologue, l’auteur est encore une fois magistral.

Toute la lumière que nous ne pouvons voir de Anthony Doerr

Acheté cet hiver dans une ville côtière où je suis beaucoup allée et où je n’irai plus, Toute la lumière que nous ne pouvons voir est une sorte d’épopée policière dans le Paris, puis la Normandie d’avant, pendant et après guerre. On y suis avec une avidité délicieuse le destin de Marie-Laure, une fillette aveugle, et celui de Werner, un orphelin allemand embrigadé dans l’armée allemande. C’est prenant, bien maîtrisé et si vous connaissez un peu le quartier du Jardin des Plantes à Paris et/ou Saint Malo, vous vous plairez à déambuler dans le livre.

CE QUE DIT LA 4ÈME DE COUV :

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Marie-Laure, jeune aveugle, se réfugie à Saint-Malo avec son père. Employé au Museum d’histoire naturelle de Paris, il est chargé d’un diamant qui ne doit pas être volé par les Allemands. En Allemagne, le jeune Werner, orphelin, est dans la Wehrmacht. En 1944, leurs destins se croisent.

Voilà, je prends évidemment comme toujours vos recos lecture ! Et si vous en voulez plus, vous pouvez lire entre autre cet article 🙂

A tantôt !

Commentaires

Coucou Delphine,
Merci pour cette petite sélection.
Toute la lumière que nous ne pouvons voir… j’ai du mal, je narrive pas à avancer.
Moi, je viens de finir Nymphas Noirs de M Bussi, pour moi son meilleur
et hier soir, j’ai veillé pour terminer Jean de Florette et j’ai entamé ce matin Manon des Sources, un bon vieux classique provençal bien écrit, drôle et très émouvant. Je ne pars pas en vacances tout de suite, donc j’amène la Provence à moi. C’est rigolo quand tu as vu les films aec Depardieu, Auteuil et Montant, tu lis le livre avé l’assent.
Je te conseille aussi Quand souffle le vent du Nord (Glattauer) et sa suite la Septième vague ou comment une relation épistolaire (par mail en l’occurence) peut elle se transformer en histoire d’amour IRL… ou pas ?
Je picore des chapitres par ci par là des Notes de chevet (Sei Shonagon) ou des livres de Desproges et son humour noir de chez noir.
Et puis en vrac, des livres plus pratiques comme les Aperos simplissime (JF Mallet) – toujours utiles en été…
Je replonge dans Famille Zero déchet (Pichon/Moret), Tricot it yourself (Fringe and Frange) pour me préparer des choses pour l’hiver, et beaucoup de livres sur les Châteaux de la Loire puisque je déménage en province dans une semaine (oui oui pour y vivre) <3 <3 <3
Belles vacances à toi !

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Merci Delphine pour toutes ces pistes, je note précieusement, en particulier Nymphéas Noirs : pour la blague, je ne suis pas fan de ces Marc Levy and co et j’ai lu « Le temps est assassin » il y a quelques semaines. Franchement, ça fait la blague ! Pépites aussi tous les livres de Pagnol : clairement, on entend les cigales quand on les lit 🙂

Bon courage pour le déménagement !

Ah oui aussi, lu Quand souffle le vent du Nord, beaucoup aimé aussi 🙂

Moi non plus, pas super fan de Marc Levy, Muso and co. J’avoue Bussi,c’est du easy reading mais je trouve son écriture un peu plus recherchée que les autres sus mentionnés. J’ai également lu le temps est assassin, je trouve que c’est tout à fait le genre de livre de vacances, pas complètement gnangnan mais pas trop poussé non plus… en plus, la Corse, quoi ! Nymphéas, ça se passe à Giverny, ambiance impressionniste.
Je me permets de te renvoyer sur mon blog où j’avais fait un post sur mes livres préférés (voir fin du post) : http://en1riendetemps.canalblog.com/archives/2016/05/29/33864975.html

Enjoy Summer!

PS : j’adre tes posts culture (plus ma came que la mode mais je lis quand mm tes posts mode et les autres car j’aime ton écriture et aussi connaitre plein de nouveautés 😉 )

Merci Delphine, c’est important pour moi de savoir ce qui te et vous plait ici.

Clairement, la Corse du Temps est assassin > j’ai hâte d’y retourner rien que pour voir « en vrai » les lieux dont il parle… J’en ai reconnu certains, pas tous, loin s’en faut !

Merci à toi pour cette petite sélection.
Je n’ai lu que Sagan. Il est pas mal du tout ! 🙂

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Tu en as lu d’autres de Sagan ?

Bonjour
Pour ma part je n’ai pas lu grand chose d’autre que bonjour tristesse. J’ai voulu attaquer récemment le petit opus « dans un mois dans un an » mais cela m’a semblé assez daté, une galerie de personnages dans laquelle j’ai eu un peu de mal à me retrouver, j’ai abandonné en cours de route.

Rhaaa accroche toi Sev ! C’est un de mes préférés 🙂

Je note précieusement dans mon carnet les lectures passées et celles à venir.. donc merci de cette liste qui va me permettre d’aller faire un tour éclairé dans les rayons de ma librairie!
Réparer les vivants, lue l’an dernier, et toujours présent…une claque effectivement. je ne suis cependant pas allée voir le film.
bel été!

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Merci Anju, à toi aussi !

Hello Delphine, Merci pour ce billet dédié aux livres : on imagine bien que cela ne fait pas partie des posts les plus « likés » et c’est dommage. J’apprécie toujours de glaner des idées de lecture donc please, ne te prive pas de ces partages. 😉

(Ah Sagan ! J’ai lu celui-ci et le résumé m’a replongée dans l’appartement parisien de Paule illico…)

Bonnes vacances !

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Bien noté, merci pour ton retour 🙂

Merci pour ta sélection qui me donne quelques idées! Alors, si tu as une envie de légéreté, d’empathie et de bons sentiments je te conseille l’univers de Virginie Grimaldi, Si tu as envie d’humanisme je te conseille Baptiste Beaulieu qui évoque son métier de médecin urgentiste. Et en grande admiratrice de Jeanne Benameur, je te conseille son dernier roman qui parle la place de la mère même si ce n’est pas mon roman préféré.

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Oui, j’adore les livres de Baptiste Beaulieu, j’admire profondément cet homme… !

Je ne connais en revanche pas du tout Virginie Grimaldi ni Jeanne Benameur, je note, merci !

Merci deedee pour cette sélection qui tombe à pic.
Je confirme que « réparer les vivants » ce fut une bonne claque de l été dernier pour moi. J avais beaucoup aimé.
Je viens de terminer un bon thriller  »
Les visages » mêlant l art contemporain, les histoires familiales et une enquête. La fin m a laissé un peu sur ma faim mais le reste du livre vaut le détour.
Terminé également « le cercle » dont le film eponyme est sorti cet été je crois. Très intéressant egalement et permettant un bon recul sur les reseaux sociaux et la globalisation.
Bonnes vacances et bonnes lectures !

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Parlant de thriller j’ai lu récemment « chasseurs de tête  » (je suis Rh, je m’attendais à un livre sur le metier!), de Jo Nesbo de mémoire. C’est assez haletant et déroutant.
Dans le genre policier, je suis totalement fan dArnaldur Indridasson. J’ai lu au moins 5 ou 6 de ses livres et j’en ai un en attente pour cet été même s’il n’est pas trop de saison (hiver arctique! )

Ahahah j’adore :p Merci pour les pistes supplémentaires, je n’en connais aucune, ce qui me réjouis !

Merci pour ces pistes ! Très bel été à toi 🙂

Merci Delphine de partager tes lectures!
Entre quelques livres sur la cause animale et sur la pleine conscience (plus précisément ceux de Thich Nhat Hanh), je découvre Prévert (Fratras) et Kundera (L’insoutenable légèreté de l’être); ta sélection m’a donné envie d’ajouter Françoise Sagan à ma liste de ces « nouveaux » auteurs, et de me plonger dans Réparer les vivants 🙂
Bel été!

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Je note Thich Nhat Hanh, le sujet m’intéresse 🙂 Bel été à toi !

Coucou Deedee!
C’est toujours un plaisir pour moi de découvrir tes listes. J’ai eu beaucoup de coup de cœur grace à ces dernières donc s’il te plaît ne t’arrête jamais! Merci pour « Une chanson douce » Que jai adoré dernièrement par exemple.
« Réparer Les vivants » sera mon prochain livre de chevet!
Merci et Bonnes vacances!

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Merci mille fois Dooseen, ça me touche et comme je le disais un peu plus loin à Delphine, c’est hyper important pour moi de savoir ce qui vous plait ici 🙂

Dur hein « une chanson douce » ? Mais tellement prenant… J’aurais pu le mettre ici, tiens.

Bonne lecture et bonnes vacances à toi !

J’avais adoré « Dans les forêts de Sibérie » et j’aimerai même le relire. L’éternel dilemme… lire de nouveaux romans ou en relire… un peu comme pour les voyages en fait 😉

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Ahah exactement !

Merci pour toutes ces pistes, pas de conseil, je suis à la masse!!! bonnes vacances ma beauté des criques 🙂

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AHAHAH bonnes vacances 🙂

Trop chouette cette sélection, merci !
Si tu aimes Françoise Sagan, je te conseille les livres d’Irène Némirovsky. Je ne sais pas pourquoi mais je range souvent ces deux auteures dans la même case. Peut-être parce que je les aime pour une même raison, cette façon d’être lucides sur les mesquineries de leurs personnages, de ne jamais rien leur pardonner, de ne jamais chercher à les rendre meilleurs que ce qu’ils sont…

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Merci Emma, je note, et précieusement avec ça !

Merci pour ces conseils ! J’apprécie pour ma part d’avoir des idées de lecture pour l’été et toute l’année 🙂
J’ai adoré Toute la lumière que nous ne pouvons voir

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Merci de ton retour Claire 🙂 En fait, je pense que c’est bien de faire des petites « compiles » de livres à lire plutôt que des chroniques en one shot, non ?

Cette année j’ai bien aimé l’invention de nos vies de Karine Tuil, mes amis devenus de Mourlevat, les gens sur la photo d’Isabelle Monnin (un thème qui m’intéresse car j’ai en attente Eux sur la photo) et j’ai lu avec plaisir Le bonheur national brut pendant les élections (l’histoire de 4 amis qui commence le soir du 10 mai 81 et leur évolution au fil des ans).

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Ah OUI ! j’ai lu et aimé les gens sur la photo et Eux sur la photo, très différents mais très bons 🙂

Merci pour les autres pistes !

siiiiiiiii, parle-nous de bouquins ! j’adore toujours tes billets lectures que je trouve très inspirants. et puis je refile tes idées à une copine qui adore lire. merci de notre part, donc !

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Merci Deedee pour cet article, c’est toujours bien d’avoir de nouveaux livres à lire !
Pour ma part je te conseillerais les livres d’Anne Wiazemsky : ses livres autobiographiques : mon beau navire, jeune fille, une année studieuse…qui racontent son enfance et sa jeunesse, comme autant devoyages d’initiations, le tournage d’au hasard balthazar, son histoire d’amour avec Jean Luc Godard. et surtout les romans qu’elle a écrit sur sa famille russe et sur sa mère : une poignée de gens et mon enfant de Berlin surtout (son père était un prince Russe dont les parents ont dû fuir la Russie en octobre 17). C’est poétique et émouvant, parfois glaçant sur les relations mère fille mais toujours avec un détachement tendre, bref c’est beau!

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et sinon on peut toujours lire tous les livres de Romain Gary! Mes préférés : la Promesse de l’Aube et les Cerfs Volants 🙂

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Mais si moi j’aime beaucoup les posts sur les livres! Sur ta sélection j’en ai lu et aimé plusieurs (le Kundera, Réparer les vivants, les forêts de Sibérie) donc je pense qu’on est raccord 🙂 Du coup j’en ai noté plusieurs, notamment le William Boyd, j’aime bien cet auteur mais ne connais pas ce livre.
De mon côté récemment après Americanah j’ai lu de la même écrivaine l’autre moitié du soleil (je ne me souviens plus si tu en avais parlé), des histoires entremêlées de trois points de vue sur la vie pendant la guerre du Biafra. Et plus ancien mais toujours beaucoup d’actualité, vraiment très juste et bouleversant, Continents à la dérive de Russel Banks (+ american darling du même auteur). Et chez les auteurs français, Trop de Lumière de Marinette Lévy, un premier roman hyper bien écrit, plus profond que le sujet ne le laisserait penser (une star de la chanson, la quarantaine, qui est à un tournant de sa vie) à l’humour acerbe. Marinette est une amie donc on pourrait me soupçonner d’être un peu subjective, c’est possible mais tous cMais si moi j’aime beaucoup les posts sur les livres! Sur ta sélection j’en ai lu et aimé plusieurs (le Kundera, Réparer les vivants, les forêts de Sibérie) donc je pense qu’on est raccord 🙂 Du coup j’en ai noté plusieurs, notamment le William Boyd, j’aime bien cet auteur mais ne connais pas ce livre.
De mon côté récemment après Americanah j’ai lu de la même écrivaine l’autre moitié du soleil (je ne me souviens plus si tu en avais parlé), des histoires entremêlées de trois points de vue sur la vie pendant la guerre du Biafra. Et plus ancien mais toujours beaucoup d’actualité, vraiment très juste et bouleversant, Continents à la dérive de Russel Banks (+ american darling du même auteur). Et chez les auteurs français, Trop de Lumière de Marinette Lévy, un premier roman hyper bien écrit, plus profond que le sujet ne le laisserait penser (une star de la chanson, la quarantaine, qui est à un tournant de sa vie) à l’humour acerbe

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